Au le XVIIIème siècle, des différentes causes orientent l'attention des naturalistes à l'observation de la structure géologique des montagnes, qui devient le sujet de beaucoup d'études sur la distinction morphologique et lithologique des couches. Dans ce contexte, la discussion italienne sur l'origine des sources (en particulier entre le 1715 et le 1730) était très-importante pour l'étude détaillé des roches stratifiées. Bernardino Ramazzini (1633-1714), professeur de médecine théorique à l'université de Padoue, affirmait que la source des puits artésiens d'eau douce, souvent trouvés autour de la ville de Modène, était un réservoir placé au dessous de l'Apennines et joint à la mer. La formulation de cette théorie (dans le traité De Fontium Mutinensium Admiranda Scaturigine, 1691, 1713) est fondée sur une description lithologique détaillé des couches observées au dessous de la plaine de Modène. Aussi Antonio Vallisneri (1661-1730), professeur de médecine à Padoue, prinont beaucoup des données d'observation du livre de son collègue Ramazzini, mais offrait une théorie tout à fait différente, basée sur l'origine météorique des sources, confirmée par la structure des couches des montagnes et par le degré de leur perméabilité et le leur composition lithologique. Pour illustrer sa théorie (dans la Lezione accademica intorno all'origine delle fontane, 1715, 1726) Vallisneri éditait une planche importante pris d'un croquis que lui avait donné le naturaliste suisse Johann Scheuchzer au sujet des couches observées en Suisse autour du lac Uri. Après la la première édition de la Lezione Accademica de Vallisneri, la controverse italienne sur l'origine des sources impliquait plusieurs savants tels que Niccolò Gualtieri, Gaston Giuseppe Giorgi, Jacopo Riccati, Sebastiano Pauli, Giuseppe Antonio Pujati, Niccolò Ghezzi, Ludovico Barbieri. Leur ouvres supportaient ou rejetaient la théorie de Vallisneri, mais la Lezione Accademica les stimulaient du tout façon à prêter une nouvelle attention à l'étude géologique des montagnes, des roches et des couches.
Entre hydrologie et géologie: le débat italien sur l’origine des sources au début du XVIIIe siècle
VACCARI, EZIO
2003-01-01
Abstract
Au le XVIIIème siècle, des différentes causes orientent l'attention des naturalistes à l'observation de la structure géologique des montagnes, qui devient le sujet de beaucoup d'études sur la distinction morphologique et lithologique des couches. Dans ce contexte, la discussion italienne sur l'origine des sources (en particulier entre le 1715 et le 1730) était très-importante pour l'étude détaillé des roches stratifiées. Bernardino Ramazzini (1633-1714), professeur de médecine théorique à l'université de Padoue, affirmait que la source des puits artésiens d'eau douce, souvent trouvés autour de la ville de Modène, était un réservoir placé au dessous de l'Apennines et joint à la mer. La formulation de cette théorie (dans le traité De Fontium Mutinensium Admiranda Scaturigine, 1691, 1713) est fondée sur une description lithologique détaillé des couches observées au dessous de la plaine de Modène. Aussi Antonio Vallisneri (1661-1730), professeur de médecine à Padoue, prinont beaucoup des données d'observation du livre de son collègue Ramazzini, mais offrait une théorie tout à fait différente, basée sur l'origine météorique des sources, confirmée par la structure des couches des montagnes et par le degré de leur perméabilité et le leur composition lithologique. Pour illustrer sa théorie (dans la Lezione accademica intorno all'origine delle fontane, 1715, 1726) Vallisneri éditait une planche importante pris d'un croquis que lui avait donné le naturaliste suisse Johann Scheuchzer au sujet des couches observées en Suisse autour du lac Uri. Après la la première édition de la Lezione Accademica de Vallisneri, la controverse italienne sur l'origine des sources impliquait plusieurs savants tels que Niccolò Gualtieri, Gaston Giuseppe Giorgi, Jacopo Riccati, Sebastiano Pauli, Giuseppe Antonio Pujati, Niccolò Ghezzi, Ludovico Barbieri. Leur ouvres supportaient ou rejetaient la théorie de Vallisneri, mais la Lezione Accademica les stimulaient du tout façon à prêter une nouvelle attention à l'étude géologique des montagnes, des roches et des couches.
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